lundi 18 mai 2015

Quels sont les risques, notamment pour les enfants ?

(Pour l'instant cet article est une ébauche et se verra enrichi au fur et à mesure avec des informations supplémentaires et des liens)
  • L’application du principe de précaution est d’autant plus importante que la population concernée est celle des enfants et que, s’il existe un domaine consensuel chez les scientifiques comme chez les autorités, c’est bien celui qui concerne la sensibilité toute particulière des enfants.
  • Le cancer n’est, à vrai dire, pas la seule pathologie concernée. Le discours officiel se focalise beaucoup sur le cancer, ce qui est très commode puisqu'il s'agit d'une maladie multi-factorielle qui met du temps à se manifester ce qui trouble l'identification de l'origine de l'affection. Par contre les chercheurs trouvent de plus en plus d'autres problèmes pour la santé qui interviennent aussi plus rapidement tels que
    • les troubles neurologiques
    • l’autisme, ou 
    • les troubles divers du comportement et de l’attention
  • Ces troubles se développent de façon cohérente dans le temps et l’espace avec le déploiement des technologies sans fil. Le lien entre ces deux phénomènes étant mis en évidence par des travaux indépendants, en particulier ceux du scientifique américain Georges Carlo qui en octobre 1999 décide d'écrire une lettre aux opérateurs pour exprimer ses inquiétudes et qui depuis n'arrête pas de se battre contre le Wifi à l'école aux Etats-Unis.
  • Les cerveaux des enfants sont plus petits, donc ils sont affectés beaucoup plus que ne le sont les adultes. Les cerveaux des enfants contiennent plus d'eau, donc les ondes y sont conduites plus vite et plus fort. "Il est à noter que les études révélant que les enfants absorbent plus de radiations dans le cerveau implique que ceux-ci soient encore plus susceptibles au risque de cancer."
  • En France, c’est le docteur Belpomme qui se bat pour la reconnaissance de la nocivité de ces ondes. Le docteur Belpomme est professeur de cancérologie à l'université Paris-Descartes (Paris V), membre de plusieurs sociétés savantes internationales et président de l’ARTAC, Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse.
    • Officiellement, les personnes intolérantes aux champs électromagnétiques, les électro(hyper)sensibles, souffrent, selon l’OMS, d’une maladie environnementale idiopathique. Le terme idiopathique signifie “symptôme ou maladie de cause inconnue”. Or, selon le docteur Belpomme, l’OMS et la communauté médicale devraient cesser d’utiliser le terme contradictoire « intolérances environnementales idiopathiques » justement parce qu’on sait désormais que les causes et déclencheurs des hypersensibilités environnementales sont… environnementales! Autrement dit: on devient électrosensible à force d’être exposé, souvent de façon passive, aux ondes électromagnétiques du type Wifi.

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